lundi 4 février 2013

La “gastro”

Esta abreviación -digamos, para los cuates – resume en seis letras una enfermedad muy común durante el periodo invernal en Francia, extremadamente contagiosa y extremadamente fastidiosa también. El horror que provoca esa palabra es casi como si hablaramos de la peste y no es para menos, porque atraparla hasta nos hace pensar que quizas estaríamos mejor muertos, de menos por un rato.

Ce petit surnom –disons, pour les copains- synthétise en six lettres une maladie très répandue pendant l’hiver en France, extrêmement contagieuse et extrêmement chiante, aussi. L’horreur qu’elle provoque c’est presque comme si l’on parlait de la peste et ce n’est pas trop dire, parce que le fait de la choper nous fait même penser que ce serait peut être mieux mieux d’être morts, au moins pendant un moment.

Para mi desgracia, Petit Monstre y yo acabamos de padecerla  y en efecto, fué horrible -aunque no tanto como espantosa intoxicación alimentaria que tuve alguna vez y ciertamente nada que ver con los dolores del parto.

À mon grand dam, nous venons de l’avoir, Petit Monstre et moi-même, et, effectivement, c’était horrible – pas autant que l’épouvantable intoxication alimentaire que j’ai eu une fois et certainement rien à voir avec les douleurs de l’accouchement.

Yo la definiría como: “maldita patología infernal” porque si hay algo peor que tenerla es que tus hijos la sufran -por ellos y por uno mismo-, pero veamos la definición de la Real Academia de la lengua Española:

Je la définirait comme: “maudite pathologie infernale” parce s’il y a quelque chose pire que de l’attraper c’est que tes enfants la chopent –pour eux et pour soi même-, mais voyons la définition de la Real Academia de la Lengua Española* :

gastroenteritis.
(De gastro- y enteritis).
1.    f. Med. Inflamación simultánea de la membrana mucosa del estómago y de la de los intestinos.”

Y que se traduce en dos o más días en la incapacidad de hacer otra cosa que vivir encerrado en el baño o tirado en la cama con una cubeta al lado y por más hambre que se tenga, sin ganas de probar bocado. Situación bastante molesta pero que en general desaparece al cabo de dos o tres días en los que principalmente hay que evitar la deshidratación, sobre todo tratándose de personas frágiles.

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Et qui se traduit en deux ou plusieurs jours dans l’incapacité de faire rien d’autre que vivre enfermé dans les toilettes ou allongé sur le lit avec un seau sur le côté et sans la moindre envie de manger quoique ce soit,  même si l’on est affamé. Situation assez gênante mais qu’en général, disparaît au bout de deux ou trois jours dans les quels il faut éviter principalement la déshydratation, surtout s’il s’agit de personnes fragiles.

Como decía, Petit Monstre acaba de tenerla y ha sido espantoso. Encima de verlo sufrir sin que el pobre entendiera lo que le pasaba ni por qué y de tratar bien que mal de mantenerlo hidratado –y limpio-, había que preveer cuándo y en donde iría a vomitar, porque estamos de acuerdo en que un niño de dos años no entiende razones ni puede quedarse quieto en un solo lugar e imposible dejarlo en el baño... Resultado: un par de noches sin dormir – a las que le seguirían otras dos, pero por mí-, seis lavadoras en tres días para acabar con la ropa sucia y que además yo terminara contagiandome también.

Je disais donc que Petit Monstre vient de l’avoir et ce fut l’horreur. En plus de le voir souffrir sans que le pauvre comprenne ce qui lui arrivait ni pourquoi et d’essayer bien que mal qu’il reste hydraté  -et propre -, il fallait aussi prévoir où et quand il allait vomir, parce que nous sommes tous d’accord sur le fait qu’un enfant de deux ans n’entend pas de rester sagement à la même place et c'est impensable de le laisser dans les toilettes… Résultat : une paire de nuits blanches –aux quelles il faudrait ajouter deux autres pour mon compte-, six lessives en trois jours pour en finir avec le linge sale et qu’en plus, j’aie fini par être malade à mon tour.

Porque esa patología es como si le encantara jugar a “la traes” y pasa casi sistemáticamente de un individuo a otro con singular alegría... sobre todo viviendo bajo el mismo techo.

Parce qu’on croirait que cette pathologie adore jouer au “chat” et passe presque systématiquement d’un individu à l’autre à cœur de joie… surtout quand l’on vit sous le même toit.

Pero aunque pase al cabo de dos o tres días, lo mejor es no tenerla y en definitiva, no se la desearía ni a mi peor enemigo... aunque puede que si le pasara a uno o dos políticos... ok, está mal siquiera pensarlo.

Mais même si cela passe au bout de deux ou trois jours, le meilleur c’est de ne pas l’avoir et, définitivement, je ne le souhaite même pas à mon pire ennemi… quoique, si cela arrivait à un ou deux politiciens… ok, c’est mal rien que d’y penser.


 gastro-entérite 

(De gastro- y enteritis).
1.    f. Méd. Inflammation simultanée de la membrane muqueuse de l’estomac et  celle des intestins.”

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